17.10.2010 KM 60 030 > KM 62 560
Salam alekum!
Chers amis! On vient juste de se rendre compte mais la dernière entrée date de dix jours. Ça fait un bail qu’on n’a pas autant tardé à actualiser! Incroyables les dix jours qui viennent de passer! En les diluant dans l’eau on pourrait obtenir trois semaines de voyage normal! Souvenez-vous: nous étions à Almaty et on avait des difficultés pour obtenir le visa ouzbèque, le seul qu’il nous manquait encore. Et le moteur perdait de l’huile… Bon. Finalement, après deux ou trois rebondissements à tuer un grand-père cardiaque, nous avons eu le visa au tout dernier moment. On a acheté quelques litres d’huile et nous sommes partis, de nuit pour profiter des plus basses températures et donc d’une meilleure viscosité de l’huile. La route était très mauvaise et il pleuvait mais le premier soir on a roulé 600 kilomètres!
Queridos amigos! Nos acabamos de dar cuenta que la última entrada ya tiene diez días! Cuánto tiempo hacía que no los dejábamos tanto! Fueron increíbles los diez días que acaban de pasar! Si los cortamos con agua podríamos obtener tres semanas de viaje normal! Acuérdense: estábamos en Almaty y teníamos problemas para sacar la última visa que nos faltaba y el motor perdía aceite. Bueno. Al final, después de dos o tres peripecias que hubiesen podido resultar fatales para un cardíaco la tuvimos al último momento. Hicimos provisiones de aceite y salimos, de noche para sacar provecho de las temperaturas bajas y entonces de una mejor viscosidad del aceite. La ruta era mala y llovía pero la primera noche hicimos 600 kilómetros!
De nuit on ne voit rien mais de jour les paysages sont très impressionnants. Nous avançons à travers les steppes mais quelques kilomètres plus au Sud se dressent les immenses montagnes du Kyrguistan. Comme ça, d’un coup, sans prévenir. Nous roulons à leurs côté durant près de 1000 kilomètres et au matin du troisième jour, après un beau lever de soleil, nous arrivons à la frontière de l’Ouzbékistan. Pique nique sur le bord de la route et derniers kilomètres au Kazakhstan. Il est très probable que l’on n’y revienne jamais.
De noche no veíamos nada pero de día el paisaje es impresionante. Estamos en plenas estepas, sin embargo unos pocos kilómetros al Sur se levantan las inmensas montañas del Kirguistán. Andamos a su lado durante casi 1000 kilómetros y al medio día del tercer día, después de un atardecer hermosísimo, llegamos a la frontera con Uzbekistán. Pic-nic al borde de la ruta y últimos kilómetros en Kazajistán. Lo más probable es que nunca volvamos.
De nuit on perd peu d’huile mais de jour, avec le soleil qui frappe de plus en plus fort, c’est un désastre. On rempli le carter avec l’huile à trois sous qu’on a acheté à la sortie d’Almaty et là c’est carrément la Bérézina. Plus d’un litre et demi pour cent kilomètres. On doit trouver de l’huile convenable, et vite!
De noche perdimos muy poco aceite. De día un desastre. Le echamos del aceite baratísimo que compramos a la salida de Almaty pero al toque vemos que es agua cortada con gotas de lubricante. Tiramos más de un litro cada cien kilómetros. Hay que conseguir un aceite como la gente, ya!
L’ingénieure Iris avec notre nouvelle barre à mesurer l’huile / Ingeniera Iris con nuestra nueva varilla de medir el aceite. Mil gracias amigos por mandar las medidas! Y un gracias inmenso a HER, DIEGO, DON HERBIE y ANDRES, de Ciudad Victoria, por el excelente trabajo que hicieron! Genial contar con semejantes amigos!
Mais l’essentiel est là: nous venons d’enter en Ouzbékistan. Samarkand n’est qu’à 300 kilomètres. On découvre la gentillesse des gens du coin lorsqu’un groupe d’hommes demande à un collègue de prendre sa voiture pour acheter quelques litres d’huile et à partir de ce moment là, ça commence à aller mieux. Sur les coups de 21h nous faisons notre entrée dans une ville qui nous a tant fait rêver : Samarkand.
Pero lo más importante es que hayamos llegado. Samarkand está a tan solo 300 kilómetros y descubrimos la gentileza de la gente del país cuando un grupo de hombres pide a un colega que tome su auto para llevarnos a comprar unos litros de aceite. 20W50 bien barata pero perfecta para lo que necesitamos. A partir de este momento empezamos a andar mejor y poco después de las 21 entramos en la ciudad que tanto nos hizo soñar: Samarkand.
Samarkand
Magnifique, magique, enchanteresse… Les mots manquent. La réputation de la ville n’est pas usurpée et Corto Maltesse avait bien raison d’y traîner ses guêtres.
Magnífica, hermosa, mágica… Faltan las palabras. La reputación de la ciudad vale la realidad y Corto Maltesse, héroe de juventud francesa (e ídolo del chofer) tenía toda la razón del mundo en quedarse ahí.
Les coupoles turquoise, couleur sacrée, tranchent avec les maçonneries de briques cuites puis avec le ciel azur. Les motifs géométriques et les arabesques hypnotisent. Le soleil frappe fort. Les petits vieux restent à l’ombre, les petites vieilles vont au marché. Les gamins jouent au foot, les chauffeurs de taxi lustrent leurs bagnoles. Toute une ambiance… Ici aussi c’était l’Union soviétique mais les legs du frère russe semblent se compter sur les doigts d’une seule main. Nous sommes dans un autre monde et on s’y sent drôlement bien.
Las cúpulas turquesa, color sagrado, contrastan con las construcciones de ladrillo cocido y con el cielo celeste. Los motivos geométricos y los arabescos hipnotizan. El sol pega fuerte. Los viejitos se quedan a la sombra y las viejitas van al mercado. Los niños juegan al fútbol, los taxistas lustran sus máquinas. Todo un ambiente… Aquí también era la unión soviética pero las herencias del hermano ruso se cuentan con los dedos de una sola mano. Estamos en otro mundo es increíble lo que nos gusta.
La ville a plus de 1000 ans mais la plupart des constructions datent des XVe, XVIe et XVIIe siècles, de l’époque dite timouride. L’ensemble le plus fameux est le Registan, un vaste complexe de trois madrasas, ces universités du coran. Magnifiques. Les Sorbonne du monde arabe. Celles de Samarkand ont vu passer quelques uns des plus brillants savants de la culture orientale.
La ciudad tiene mucho más de 1000 años pero la mayor parte de los edificios que quedaron fueron construidos en los siglos XV, XVI y XVII. El conjunto más famoso es el Registan, un grupo de tres madrasas, estas universidades coránicas. Magnificas. Son las Sorbone del mundo árabe. Las de Samarkand vieron pasar algunos de los científicos más brillantes de la cultura oriental.
Les étudiants y restaient en résidence pendant cinq ans et comme il fallait bien les loger, ce sont des constructions massives. 150 chambres de deux étudiants est un nombre qui revient souvent.
Los estudiantes vivían ahí durante cinco años y como había que alojarlos, las construcciones son amplias. 150 habitaciones de dos estudiantes parecía ser la norma.
La finesse des mosaïques, dans les encadrements de portes ou dans les soubassements est ahurissante. Nous n’avions plus vu autant de culture et de beauté depuis le Japon.
La delicadeza de los mosaicos, alrededor de las ventanas o debajo de los techo es increíble. No habíamos visto tanta cultura ni tanta belleza desde Japón.
La ville déborde de mosquées et de mausolées, comme autant de témoignages de son âge d’or. L’allée des tombeaux de Shakh Zinda est très émouvante. Et toujours cette beauté, cette finesse, ce soin dans les moindres détails.
La ciudad está repleta de mosquitas y de mausoleos, como tantos testigos de su edad de oro. La vía de las tumbas, también llamada el conjunto de Shakh Zinda es muy emocionante. Y siempre esta belleza, este cuidado en los detalles…
Nous allons d’un site à un autre en passant par les ruelles tortueuses et sans voitures, le plus près possible des murs, en cherchant l’ombre.
Vamos de un sitio a otro pasando por las callecitas tortuosas y sin coches, lo más cerca posible de las paredes, buscando la sombra.
On est tellement contents! On n’avait peur de ne rien pouvoir voir mais en restant une journée entière sur place, on a même le temps de prendre notre temps. On savoure chaque minute. Quelques bonnes heures après-midi on s’installe sur la terrasse d’un boui-boui situé près du marché et on y mange pour trois dollars, thé et pain traditionnel inclus.
Estamos tan felices! Teníamos miedo no poder ver nada pero quedándonos un día entero, hasta tenemos el tiempo de tomar nuestro tiempo! Saboreamos cada minuto. Unas horas después del medio día nos instalamos a la terraza de un restaurancito cerca del mercado y comemos por menos de tres dólares, pan tradicional y té incluidos.
Les gens sont formidables. Très souriants, curieux de l’étranger… On retrouve des sensations oubliées depuis l’Amérique Latine, s’embrasser, dire “ami” à des conaissances toutes neuves, parler comme si on se connaissait depuis longtemps. On se sent vraiment bien. Le soleil se couche et nous disons au revoir à une ville où on aurait pu rester des semaines.
La gente es formidable. Muy sonriente, curiosa del viajero… Volvemos a encontrar sensaciones olvidadas desde América Latina; abrazarse, decir “amigo” a gente recién encontrada, hablar como si los conociéramos desde años. El sol se va y decimos adios a una ciudad en la cual hubiésemos podido quedar semanas.
Nous prenons la route. Les premiers kilomètres sont chouettes. La nuit est tiède, nous roulons avec les fenêtres entrouvertes. 60 km par heure. Rarement plus. Puis la route commence à devenir franchement mauvaise. La kombi tremble de partout et les conversations se font difficiles. Au bout d’une heure, des étincelles puis une grande flamme sortent de sous le tableau de bord. La fumée envahit l’habitacle. On coupe le contact, on débranche la batterie et on inspecte tout ça. Câbles fondu, contacts cramés… Pas très joli. En temps normaux on se serait garés sur le bas-côté et on aurait attendu le lendemain mais avec un visa de trois jours, il ne faut pas rester jouer. Et Boukhara nous attend. La réparation ne nous prend pas plus d’une heure et elle tient bon ! Nous reprenons la route. L’Ouzbékistan traverse une sacrée crise d’approvisionnement en essence mais on parvient à faire le plein, par miracle ! On continue. La route est pire que jamais mais peu avant une heure du matin nous nous garons à l’entrée de la ville. Sept heures pour faire 250 kilomètres !
Tomamos la ruta. Los primeros kilómetros son lindísimos. La noche es cálida, andamos con las ventanas abiertas. 60 kilómetros por hora. Bien suave. Luego la ruta empieza a ser mala y la kombi tiembla de todos lados. Sus ruidos cubren nuestras conversaciones. Como en Mongolia. Después de una hora, unas chispas y una gran llama amarrilla salen debajo del tablero. El humo llena el habitáculo. Cortamos el contacto, desenchufamos la batería y inspeccionamos esto. Cables derretidos, contactos quemados… Bien feíto. En tiempos normales nos hubiésemos quedado al borde de la ruta y hubiésemos esperado el día siguiente pero con una visa de tres días nos hay que quedarse a jugar. Y Búcara nos espera! La reparación no nos toma más de una hora y funciona! Volvemos a la ruta, más podrida que nunca. El Uzbekistán atraviesa una crisis de abastecimiento en gasolina pero encontramos como llenar el tanque… Por milagro! Seguimos. La ruta está peor que nunca pero poco antes de la una de la madrugada nos estacionamos a la entrada de la ciudad. Siete horas para hacer 250 kilómetros!
BOUKHARA
L’autre joyau national. Même époque, même beauté. Le monument principal est l’ensemble constitué par la mosquée du vendredi et la plus grande madrassa de la région, toujours en activité.Il tient la dragée haute au Registan.
La otra joya nacional. Misma época, misma belleza. El monumento principal es el conjunto dibujado por la mosquita del viernes y la madrasa más grande de la ciudad, todavía en actividad. Rivaliza sin problema con el Registan.
Les monuments se mêlent à l’ancienne ville, légèrement à l’écart du centre moderne. Le tourisme saute plus aux yeux mais il n’y a pas grand monde. Les goupes de retraités français constituent le plus gros des troupes. Comme à Samarkand nous allons d’un site à un autre en faisant des rencontres marrantes, en longeant les remparts de l’immense forteresse érigée pour protéger la ville.
Los monumentos se mezclan con las otras partes de la ciudad antigua, un poco alejada del centro moderno. El turismo es más obvio pero no hay mucha gente. Grupos de jubilados franceses por docenas, esto sí. Como en Samarkand vamos de un lugar a otro haciendo encuentros simpáticos, caminando a lo largo de las inmensas paredes de la fortaleza construida para proteger la ciudad.
C’est un ancien qui nous fait visiter l’une des plus vieilles madrasas, qui attend patiemment le jour de sa restauration. Des toits aux caveaux, on a tout exploré.
Es un jubilado el que nos hace visitar una de las más antiguas madrasas, la que sigue esperando el día de su restauración. De los techos a las cuevas, exploramos todo!
La vie s’organise dans les marchés couvertes ou autour des petites places, où des étangs artificiels apportent un peu de fraîcheur. Ça joue aux cartes, ça bavarde. C’est sûr qu’à 25 - 30ºC en octobre il fait bon vivre…
La vida se organiza en los mercados cubiertos o alrededor de las placitas, donde estanques artificiales traen un poco de frescura. Se juega a las cartas, se habla… Hay que admitir una cosa: con 25 - 30ºC en octubre, es linda la vida!
Une fois encore, le soleil se couche et nous devons quitter la ville, quitter le pays. Le chauffeur nettoie la kombi à côté des conducteurs de taxis et nous laissons derrière nous un pays que nous avons adoré. Un pays qu’on aurait bien voulu vivre plus longtemps encore mais que nous avons tout de même pu découvrir. Nous l’avons vécu comme un grand privilège.
Una vez más, el sol se nos va y hay que dejar la ciudad, dejar el país. El chofer limpia la kombi con los taxistas y nos vamos, dejando atras nuestro unos de los lugares que más nos gustaron. Unos lugares que nos hubiese gustado conocer más todavía… Pero los vimos y lo vivimos como lo que es: un privilegio.
Alors nous arrivons au Turkménistan. Vous savez, le Turkménistan, c’est le pays qui nous faisait un peu flipper. Dès la frontière, on savait qu’ils allaient nous prendre de l’argent et vu comme on compte chaque centime, on n’en avait vraiment pas envie. Le croirez-vous, on a fait mine de ne plus avoir de sous et on a tiré l’argent qu’ils nous demandaient des douaniers eux-mêmes, en leur vendant des tee-shirts, des bracelets, en essayent d’organiser une loterie! Les mecs étaient écœurés… Mais ils ont bien ri! On croit que c’est pour ça que ça a marché. Ça a pris des heures mais la frontière nous a coûté le tiers de ce à quoi on s’attendait! Qu’est-ce qu’on était fiers!
Entonces llegamos a la frontera de Turkmenistán. Saben, el Turkmenistán es el país que nos daba un poco miedo. Sabíamos que nos iban a sacar mucho dinero y ya que andamos contando cada centavo, nos dolía el solo pensar en esto. No lo van a poder creer pero hicimos que no teníamos más dinero y sacamos los dólares que nos faltaban del bolsillo de los aduaneros mismo, vendiéndoles remeras y pulseras, tratando organizar una lotería. Los tipos no lo podían creer! Se rieron mucho y creemos que por esto funcionó. Nos tomó horas pero la frontera nos costó el tercio de lo que esperábamos. El orgullo al entrar en el país!
Ensuite, le pays est un vaste désert. Il y fait très chaud. On pourrait vous raconter quelques anecdotes marrantes avec les policiers, les espions, l’huile et l’essence à 30 centimes de dollar le litre mais ce que nous retiendrons de ces dix derniers jours, ce sont surtout les coupoles de l’Ouzbékistan et la gentillesse de ses habitants. Le Turkménistan, c’est tout juste bon à rallier l’Iran… Où nous sommes arrivés hier, samedi 16 octobre. Il fait chaud, il y a du soleil et nous avons un mois pour découvrir un pays qui a l’air d’avoir beaucoup à offrir !
On vous envoie de très, très grosses bises et on vous souhaite une excellente semaine!
Después, el país es puro desierto. mucho calor. Les podríamos contar anécdotas chistosas acerca de los policías, los espías, el aceite y la gasolina a treinta centavos de dólares el litro pero lo que nos llevaremos de los diez días que acaban de pasar son las cúpulas del Uzbekistán y la gentileza de su pueblo. Turkmenistán… Nada más sirve para llegar a Irán, donde entramos ayer, sábado 16 de octubre. Por fin! Tenemos 30 días para descubrir un país que al parecer tiene mucho para ofrecer.
Les mandamos unos abrazos muy, pero muy cálidos y les deseamos una excelente semana!
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PS: On vient de comprendre que l’internet est censuré en Iran. Pas de Skype, pas de Facebook… On ne sait pas encore comment on va parler avec nos familles mais on va finir par trouver!!
PD: Acabamos de entender que el internet está censurado en Irán. Nada de Skype, nada de facebook… No sabemos como hacer pero ojala encontremos una solución!
Jolies photos encore, j'espère que les mécanos iraniens seront talentueux!!
ReplyDeleteBrest-Arles 0-0, merci les brestois de ce premier point en L1!
bonne route
speedyfusca@yahoo.fr
Ah la voilà enfin l'entrée dans le monde oriental! Moi qui attendait tant cette entrée haute en couleurs et en vie! Je vois qu'une fois de plus vous êtes accueillis à bras ouverts! Quelle chance!
ReplyDeleteVous êtes tous les deux biens bronzés, Franck, tu as même la barbe, on espère donc qu'on ne va pas trop vous chatouiller en Iran... Vous avez le look!
J'espère que tout va pour le mieux, et que l'huile ne va pas se perdre à tout va.
Je vous fait d'énormes bisous...
PS: plus de quesion ouverte à la fin des articles? ;-)
Gros bisous
Florence
Un bonjour de Brest d'où je suis votre aventure avec beaucoup d'intérêt, c'est vraiment un trip magnifique que vous vivez là.
ReplyDeleteJe suis propriétaire d'un combi de 1973 mais avec lequel je n'ai jamais dépassé l'Espagne, ça doit vous paraître ridicule comparé à votre voyage.
J'espère que j'aurai l'occasion de vous rencontrer quand vous serez de retour en pays Breizhou, avez vous une date prévue de retour ?
En attendant,je vous souhaite bonne route,
profitez bien de chaque instant et donnez nous vite des nouvelles.
Phil 29
Ah ça y est ça remarche
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Que de beautés.... c'est à couper le souffle
On espère que la combi va trouver un bon garage
Prenez soin de vous
Bises +++
Bon, on commence a prendre nos marques avec l'internet iranien. Il ya des trucs pour passer a travers les mailles... Mais ca ne marche pas a tous les coups!
ReplyDeleteAlors d'abord, merci Phil pour ce petit mot! Ca nous fait toujours tres plaisir de lire des commentateurs nouveaux! Ca nous ferait bien plaisir de te voir au retour. ce sera le 26 mars, un samedi!
Ensuite, ca nous fait bien plaisir de voir que l'entree vous a plu. On etait bien impatients de partager toute cette beaute avec vous!
Sinon, y'a pas de quoi pour Arles-Avignon. Les brestois sont bons vous voyez bien! Pendant nos premieres annes de ligue 2 on s'etait meme auto nomme STADE SYMPA 29. On faisait beaucoup de cadeaux a cette epoque la... Dommage pour nous car les matchs a venir s'annoncent d'un autre calibre!
Figurez vous qy'aujourd'hui nosu avons passe toute la journee a travailler sur le moteur. Finalement, on va tout faire nous meme... Mais ca prend du temps... Et les nouvelles ne sont pas trop bonnes... Mais ca ira bien jusqu'a Brest... On espere! On a descendu le moteur, obtenu les deux pieces qu'il nous fallait etsi tout va bien ce sera remonte pour demain. On reprendra la route d'ici deux ou trois jours!
Tres grosses bises!
holissss como van mis viajeros?? q buena onda y que lugares por favor, como me gustaria estar ahi con ustedes!.. bueno cuidense mucho y nos estamos escribiendo! los super quiero ah firuu comeee estas flaquita jajaj! de envidiosa yo q estoy mas gordita jajaj besotes amiga!!!!
ReplyDeleteQué lindo lugar! y qué rápido pasó! Pero al menos lo conocieron!
ReplyDeleteLes mande mail hace unos días... ya tenemos ruta europea. Pero no sé si lo ves porque está en facebook.
Si quieren escriban a lafont.mariana@gmail.com asi tengo su mail.
saludos!
Genial Churu y Marian! Lamentablemente no podemos abrir el FB pero nosotros tambien tenemos ruta europea! Despues de Turquia Sera Grecia alrededor de diciembre y luego directo a Italia por barco. Tres semanas o un mes en el pais de Mussolini y luego tres meses entre Francia, Belgica, suiza y ral vez mas, con muchos planes, ideas y gente para visitar. Seguro nos podremos cruzar!
ReplyDeleteA nosotros tambien nos gustaria tenerte y tener a los amigos con nosotros!! Abrazos inmensos Maruuu!!!!!!!!
P.D. :
Acabamos de reparar la kombi, despues de dos dias de trabajo!!!! Bajar el motor, arreglar el embrague, hicimos todo solitos y al parecer salio bien! Estamos contentos!
Llegaron!! weee, definitivamente es hermosaa esa culturaaa y me encanta que puedan recorrerla y compartir con nosotros! Pero vaya q estresss lo del aceite chispas pero como todo siempre logran resolverlo chicos!! son lo máximo!!
ReplyDeleteya me actualicé con la entrada anterior!!
Me encanta la foto donde salen uds 2..!! me encanta como se ven!! =)
Abrazos chicos! Los quiero!!
Je suis la Tata Solognote des Rigadoulibres que
ReplyDeletevous avez rencontrés à Astana. Je me régale à la lecture de vos aventures. Continuez comme cela. Je vous souhaite tout plein d'autres belles choses.
hola pareja... somos una pareja que esetá recorriendo en combi américa también... empezamos en méxico y ahora ya hemos llegado a panamá, hace un año y medio que salimos de viaje, y aquí estamos, en panamá, taponados por darién, y no sabemos como encontrar una manera medio barata de cruzar para colombia, todo l oque hemos encontrado hasta ahora es caro, y bueno, hasta hemos pensado en vender la camioneta, pero no tenemos ganas, es nuestra casa todo este tiempo y nos da una pena... en fin, estamos en contacto, quizá volvamos pronto a costa rica si nos nos dejan cruzar... saludos...
ReplyDeletejulia y tomi
julia.cortes.campos@gmail.com
skype: jcortescampos
Aleeee!! Cuanto nos alegra volverte a leer! Cuanto te abrazamos tambien!
ReplyDeleteJulia y Tomi: en la parte INFOS PRACTICAS encontraran los precios que nosotros consiguimos para cruzar del Colombia a Panama. Es lo mas barrato que consiguimos. Igualmente, el mejor consejo que les podemos dar es tratar de inventar cosas para juntar el dinero. Panama sierve mucha para esto con el tema del dolar. Conocimos a una pareja de artesanos que hizo milagros haciendo malabares en los semaforos... Suerte en todo!! Algo saldra, seguro!
Bonjour Marthe! Et bien justement, on espere revoir les Rigadous bientot! On ne doit plus etre tres loin les uns des autres maintenant! En tous cas c'est tres gentil de nous ecrire ce petit mot. Ravis que notre site vous plaise! :-)
ReplyDeleteYves est passé ce matin et il m'a fait découvrir le site amerikando. Les photos sont superbes et vous avez projeter un périple très enrichissant. Bon courage et peut-être que vous passerez à Gouesnou nous faire un petit coucou - Odette
ReplyDeleteComme d' habitude les photos sont magnifiques!! Bravo!!Ca y est vous y etes c'est genial. Vous avez le sourire habituellement sur les photos, même en cas de coup dur, là je trouve que le sourire est encore plus heureux et detendu!!
ReplyDeleteBon courage pour la mecanique.
Alors ça! La mairie de gouesnou qui nous écrit, c'est la classe! C'est avec plaisir qu'on passera vous faire un petit coucou, c'est sûr! Bonne continuation Odette!
ReplyDeleteEt merci Alain pour ce petit mot. C'est vrai qu'on est bien contents d'être là... Et impatients d'aller découvrir l'intérieur du pays, l'ancienne Perse. A bientôt!
Hermano, Que flash tu blog. Perdón que me repita una vez más felicitaciones a los 2, sos un genio franckito!!! Cada día mejor, tu blog.. es un canto a las utopias.
ReplyDeleteAbrazo Enorme para los dos.
Leo desde Buenos aires
Leo! Que grande leerte! Da gusto saberque nos lees, de verdad!
ReplyDeleteA ver cuando te vemos en Francia?
Abrazos!
Une des entrées qui nous donne encore plus envie de découvrir l'OUsbékistan, un des pays où nous irons certainement un jour !!
ReplyDeleteC'est magnifique, et j'ai beaucoup ri de la loterie organisée avec les douaniers, un peu moins de vos ennuis mécaniques, j'espère que tou ira pour le mieux, soyez prudents,
En France aussi ça été la pénurie d'essence... grèves, manifs, enfin ça remue un peu il est temps !
On vous embrasse jacqueline et christophe