23.2.2011. KM 73 925 > KM 74 098
Bonjour, bonjour!
Et nous voilà à Rennes! En Bretagne donc et de plus en plus près de la fin! Nom de Dieu, vous parlez d’une nostalgie! Nous roulons sur la voie express en parlant des étendues mongoles, de nos copains du Mexique, des excentricités japonaises… On en chialerait! La CAF, Pôle emploi, la préfecture et la sécu nous ont empêché de revoir Paris mais on ne pouvait pas traverser la France sans vous en mettre quelques photos. Surtout pour nos lecteurs étrangers… Alors nous fouillons dans les cartons, ressortons les clichés de nos derniers mois à Lutèce et pendant que nous avançons vers les pointes du Finistère, nous nous rappelons.
Por fin llegamos a… Rennes, capital de la región Bretaña, al oeste de la cual se encuentra… Brest! Qué nostalgia por Dios! Andamos en la autopista recordando las inmensidades mongoles, los amigos de México, los clubes de Japón… Nos vienen lágrimas! Los cien trámites de la vuelta al país nos impidieron volver a ver París pero no vamos a terminar este viaje sin mostrarles algunas fotos de una de nuestras ciudades favoritas. Buscando en nuestros archivos, encontramos los recuerdos de nuestra última estadía en la ciudad luz y mientras andamos hacía el oeste, nos acordamos.
C’était le tout début de l’année 2007. Il faisait froid. On n’était pas encore mariés et le grand voyage n’était qu’une vague idée, un rêve à peine esquissé, une illusion. Qu’aurions-nous pensé si quelqu’un nous avait dit que la réalité allait dépasser toutes nos espérances? L’aurions nous cru?
Era el 2007. Todavía no estábamos casados y el gran viaje no era otra cosa que una idea en el aire, un sueño naciendo, una ilusión… Que hubiésemos pensado si alguien nos había dicho que pronto iba a ser realidad?
On marchait sur les bords de Seine, on prenait le métro, on allait dans le quartier Latin, à Bastille, dans le Marais, chez Claire, près de l’Etoile… Et on parlait d’un voyage qui, peut-être ne se ferait jamais.
Andábamos por las orillas del Sena, tomábamos el subte, íbamos al barrio latino, al Marais, a lo de Claire, por los Campos Eliseos… Y hablábamos de un viaje que tal vez nunca se haría.
Des jours entiers passés à la bibliothèque. Des soirées entre copains. Des promenades main dans la main… On était voyageurs dans la ville. Et tout est toujours tellement présents, là dans nos têtes.
Días enteros pasados estudiando en la biblioteca. Noches entre amigos. Caminatas dándose la mano… Éramos viajeros en la ciudad. Y todo sigue tan presente, aquí en nuestras cabezas.
A Montmarte, dans le Treizième, dans le bois de Vincennes, on s’est faits des souvenirs qui nous appartiennent pour toujours. Des mémoires que personne ne pourra jamais nous enlever.
En Montmarte, en el districto 13, en el bosque de Vincennes… Nos hicimos recuerdos que nos pertenecen para siempre. Memorias que nadie nos podrá sacar nunca.
Le voyage, c’est exactement la même chose. C’est juste un peu plus intense. Des mémoires qui nous appartiennent pour toujours. On est fiers de les avoir vécu et au moment de rentrer on n’espère qu’une chose: continuer à voyager, même dans notre propre ville. Valoriser les rencontres, observer, vivre… Et tout garder au chaud, là haut dans nos têtes. Voyager, c’est une attitude.
El viaje, es exactamente lo mismo. Solo que es un poco más intenso. Son recuerdos que nos pertenecen para siempre y estamos muy orgullosos haberlos vivido. Al momento de volver a casa, deseamos una sola cosa: seguir viajando. En nuestra propia ciudad, en nuestro propio país. Es una actitud. Valorar los encuentros, observar… Y guardar todo calentito, ahí arriba, en nuestras cabezas.
Nous avons quitté la maison de nos cousins avant-hier soir, bien contents de les avoir revus, eux et Lucette et Raymond, nos grands oncles qui ne pourront pas être à l’arrivée dimanche prochain.
Dejamos la casa de los tíos ayer a la noche, muy felices al volverlos a ver, tal como fuimos felices al abrazar los tíos abuelos que no podrán estar el domingo próximo.
Dans la foulée, nous avons visité Basse-Indre, le village natal de Papa. Face à la maison où tout a commencé, après avoir rencontré un de ses copains d’enfance, nous nous sommes rappelés à quel point la vie passe vite et à quel point ce qui compte, ce sont les expériences qu’on y vit.
Antes de volver a la ruta, volvimos a Basse-Indre, el pueblo natal de papa Yves. Frente a la casa de su infancia y acompañados por uno de sus amigos de cuando el era niño, volvimos a pensar en lo rápido que pasa la vida y en la importancia de las experiencias que puede ofrecer.
La pluie ne s’arrête pas. Le voyage touche à sa fin mais on a la tête remplie de soleil. Notre fils naîtra dans trois mois. L’aventure continue…
La lluvia no para. El vieja se acaba pero andamos con la cabeza llena de sol. En tres meses nace nuestro hijo. Sigue la aventura…
Grosses bises à tous / Abrazos para todos!
PETIT RAPPEL. CE SOIR, DE 18H À 19 H NOUS SERONS SUR RADIO LASER: www.radiolaser.fr
Oulala, c'est une semaine de nostalgies et de rencontres! Mais le grand moment c'est Dimanche! Je suis impatiente! Cette fois ci mon commentaire sera plus court!!
ReplyDeleteGros bisous Florence
degemer mat au pays!!! certainement les posts les + émouvants!! j'aime votre état d'esprit, ouvert et avide de découvertes, de rencontres!! je suis pressée de vous voir dimanche et de revoir les copains de la fac!! je vous embrasse. Mumu
ReplyDeleteYeeees!! Nous aussi on a hâte à dimanche Mumu!! Tellement contents de vous revoir tous!
ReplyDeleteOn t'embrasse bien fort
Muchisimas felicidades chicos!!
ReplyDeleteHoy recorde ke hace un par de años inicio este lindo viaje, y quise pasar por aqui, y vaya sorpresa, estaba muy pero muy atrasado en noticias,,,,Felicidades por el bebe y por este gran viaje que a muchos nos hizo soñar junto a ustedes....los mejores deseos!! Pura Vida!! Saludos desde Mexicali, Baja California, Mexico.